De bonnes raisons de déserter la normalité docile

Les temps sont troublés, et nous sommes appelés à rejoindre les rangs des assemblées rebelles où l'on se sent le droit de dire et qui sont des "feux d'artifice d'idées" où se défend le "goût de vivre sans…". Mais qu'est-ce que cela signifie, réellement ?

En ce moment, nous sommes bombardés de nouvelles informations qui font vibrer les cordes de l'inconfort. Les services de l'État estiment que 18,4 millions de Français (plus d'un quart de la population) habitent dans une zone exposée à des inondations d'ampleur exceptionnelle. Et pourtant, les dérives climatiques sont réduites à une simple fable, et les scientifiques qui sonne l'alarme sont considérés comme des charlatans.

Mais qu'est-ce que cela signifie, vraiment ? Quelle est la portée de ces propos ? Est-il possible que nous ayons perdu la capacité à prendre en compte les conséquences de nos actions, que nous soyons devenus insensibles aux signaux d'alerte ? Et si c'est le cas, qu'est-ce que cela implique pour notre avenir ?

Les événements sont bouleversants. L'ignoble engrenage Israël-Palestine continue de tourner, et les victimes continuent de payer le prix de la violence et de l'incompréhension. Mais qu'est-ce que cela signifie, vraiment ? Quelle est la portée de ces propos ? Est-il possible que nous ayons perdu la capacité à prendre en compte les conséquences de nos actions, que nous soyons devenus insensibles aux signaux d'alerte ?

La vie est tourmentée, et nous sommes appelés à prendre parti. Nous sommes appelés à choisir entre l'indulgence et la révolte. Nous sommes appelés à choisir entre la docilité et la résistance.

Alors, ça baigne ? Est-ce que cela signifie quelque chose de plus profond ? Est-ce que cela signifie qu'il est temps de déserter la normalité docile et de rejoindre les rangs des assemblées rebelles où l'on se sent le droit de dire et qui sont des "feux d'artifice d'idées" où se défend le "goût de vivre sans…".