Le Chant Des Bourgeons

Le Chant Des Bourgeons

Rien que de bonnes raisons de ne plus supporter ce monde de prédateurs, d'égoïsme assassin, d'indifférence meurtrière, de sournoises saloperies et cyniques agressions, de Bling-bling et d'hypocrisie caritative, de belles images « idéologiquement sales ». De bonnes raisons de déserter la normalité docile, de repousser la peur, de rejoindre ces assemblées rebelles où « on se sent le droit de dire » et qui sont des « feux d'artifice d'idées », où se défend le « goût de vivre sans (…) »

Alors, ça baigne ?

C'est ainsi que les services de l'État estiment que 18,4 millions de Français (plus d'un quart de la population) habitent dans une zone exposée à des inondations d'ampleur exceptionnelle. Ouest-France, le 24 novembre 2023.

Souvenez-vous. C'était hier. Les plus tonitruants de nos « premiers de cordée » se bidonnaient en chœur : Le dérèglement climatique ? Une grosse fable ! Les scientifiques sonneurs d'alerte ? Des charlatans ! On veut bien faire une COP, ou 28 clopinettes, pour calmer vos inquiétudes (…)

Tout cela me rappelle les mots de l'écrivain Albert Camus : "Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente."

C'est pourquoi il est temps pour nous de prendre position face à ce qui se passe dans le monde. Il est temps pour nous de réagir contre ces saloperies et ces crimes que l'on nous présente sous couvert de "justesse" et de "nécessité".

Israël-Palestine : L'ignoble engrenage

Quelle que soit la cause que l'on défend, elle restera toujours déshonorée par le massacre aveugle d'une foule innocente. Albert Camus

Quelles que soient les saloperies qu'on a subies, rien ne justifie qu'on agisse en salaud. Bien qu'elle soit le produit d'une haine folle née de la douleur accumulée par les victimes d'une longue persécution, la cruauté reste de la cruauté et ne mérite aucune indulgence. L'offensive revancharde du Hamas contre Israël a beau être une réponse à l'occupation de Jérusalem ou à la construction de colonies, elle ne justifie pas les massacres d'enfants et de civils innocents.

La position du tireur couché

Christophe Bourseiller, journaliste se présentant comme "spécialiste des courants minoritaires" et ayant déjà écrit un certain nombre de livres sur les "extrêmes", consacre sa nouvelle "enquête" à Alexander Trocchi "Dandy psychédélique", membre pendant quelque temps de l'Internationale Situationniste. Pourquoi pas ? Ce qui est connu en France de ce personnage étant plutôt maigre, cette biographie n'est pas malvenue.

On découvre donc la vie tourmentée, cacophonique, de cet homme qui a mené une vie d'écrivain underground, dédiée à l'anarchie et au désordre. Il est intéressant de noter que Trocchi a été influencé par les idées de l'Internationale Situationniste, ces groupes de jeunes gens qui voulaient bouleverser la société en créant une "société sans loi" et qui étaient prêts à tout pour atteindre cet objectif.

Saloperies de victimes !

Il y a un mot qui ressort fréquemment, c'est celui de victime. Je suis victime donc pas responsable. Cette culture de l'excuse est insupportable. Les adeptes de l'excuse victimaire adressent un crachat quotidien aux innombrables familles pauvres et immigrées où l'on respecte la loi.

C'est le tube de l'été beuglé par la chorale des chiens et chiennes de garde de ce qu'ils appellent "La République" : Y'en a marre de ces émeutiers qui justifient leur carnage par leur victimitude. Nous sommes fatigués de ces gens qui s'excusent pour tout et qui considèrent que les autres sont responsables de leurs problèmes.

Mais nous devons également prendre garde à ce qui se passe dans le monde. Nous devons réagir contre ces saloperies et ces crimes que l'on nous présente sous couvert de "justesse" et de "nécessité". Nous devons être prêts à tout pour créer un monde plus juste, où les gens peuvent vivre en paix et en liberté.

Et c'est pourquoi je vous invite à vous joindre à moi dans cette révolution pacifique. Pour que nous puissions créer un monde meilleur, où l'on puisse vivre sans avoir peur des saloperies et des crimes.